
La ville de kasumbalesa est le théâtre d’un climat malsain depuis un certain temps.
À la base de cette situation qui brise l’unité nationale, la gestion de la ville de kasumbalesa et différents services de l’État.
Du côté UDPS, la gestion de la ville de kasumbalesa doit être confiée à un cadre de l’UDPS pour que la lutte des combattants de ce parti au pouvoir soit récompensée.
Pour atteindre son objectif, la Fédération de l’Union pour la Démocratie et Le progrès social kasumbalesa renoue avec la rue chaque mardi de la semaine pour faire entendre sa voix, ces marches organisées visent le changement à la tête de la mairie de kasumbalesa et dans les différentes communes, dans sa proposition, la Fédération de UDPS Kasumbalesa suggère que la ville de kasumbalesa soit confiée à un autochtone du secteur de Balamba, suivi par un Kasai pour la bonne cohabitation pacifique.
Cette démarche rencontre une résistance des différentes communautés Katangaises de kasumbalesa, avec à la tête le chef du groupe kombo, les communautés Katangaises mettent en garde, le parti au pouvoir et exigent que la gestion de la ville de kasumbalesa et toute ses subdivisions administratives soit confiée aux Katangais, reconnus et non une fabrication de l’UDPS.
Cette situation provoque une crise de cohabitation pacifique entre les deux communautés Katangaise et kasaienne.
Pour faire entendre leurs ras bol, les communautés Katangaises dans l’ensemble ont saisi les instances judiciaires contre les deux préposés à la gestion de la ville dont Kankomba shipuwe Éric et Tshimanga Mbuyi Gabriel avec à leur charge l’usage de faux en document.
Outre cela, les communautés Katangaises par une lettre d’information adressée au maire de kasumbalesa instituent la tenue d’une série des marches chaque mardi de la semaine.
Ce climat nécessite l’intervention des autorités provinciales et nationales car la tension entre les communautés est à la porte de la ville frontalière de kasumbalesa.
Rédaction.